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3 juil. 17

Une révolution managériale fondée sur l’humain

Confiance et bienveillance : tels sont les maîtres mots de Pierre Sorel, directeur général de Sogeprom pour définir son mode de management. Question d’éthique ? Certes, mais de stratégie aussi. Car à ses yeux, c’est la seule façon de maintenir son rang de septième promoteur français.

Chez Sogeprom, l’innovation est omniprésente, y compris dans les mentalités

 

Une révolution managériale fondée sur l’humain

 

Confiance et bienveillance : tels sont les maîtres mots de Pierre Sorel, directeur général de Sogeprom pour définir son mode de management. Question d’éthique ? Certes, mais de stratégie aussi. Car à ses yeux, c’est la seule façon de maintenir son rang de septième promoteur français.

Ses enjeux industriels sont en effet à la fois multiples et paradoxaux. L’entreprise doit produire constamment plus de logements, mais sans allonger les délais de livraison. En outre, pendant qu’elle accroît son volume de production, elle doit fournir des prestations toujours plus proches du sur mesure.

Parallèlement, son métier historique évolue. Comme l’explique Pierre Sorel, nous étions à l’origine un « mal nécessaire ». Désormais, poursuit-il en substance, sa prestation historique de « couleur de béton » s’enrichit de prestations naguère dévolues aux sociologues ou aux urbanistes.

Les municipalités sont aujourd’hui à la tête de macro-lots, de 6 à 700 logements, qui incluent des commerces et des bureaux. Elles demandent aux promoteurs d’apporter des expertises en matière de consommation, de travail, d’énergie, de mobilité, de raccordement aux territoires, de manière à intégrer au mieux l’équivalent de petites villes à des quartiers anciens qui ont déjà leur histoire.

Cela signifie qu’un promoteur doit maintenant fédérer des compétences multiples. Le savoir- faire technicien ne suffit plus. Il doit être accompagné d’un savoir être.  La capacité d’écoute devient un prérequis. Il est désormais impossible de se prétendre omniscient. La bonne décision est celle qui jaillit d’un processus de co création. Le travail en commun devient donc la norme et non plus l’exception.

Face à tant de changements dans la manière d’exercer le métier, il était inimaginable de rester campé sur des pratiques immuables en matière d’organisation. Il n’était plus question, par exemple, de maintenir d’un côté, les fonctions support (relations humaines, contrôle de gestion, direction juridique) vivant à leur propre rythme. Tandis que les équipes commerciales et de production, seules au contact des clients, pratiquaient un tempo bien plus rythmé.  

Les décisions doivent être prises plus vite. Les initiatives pour mettre en place des fonctionnalités profitables au client sont hautement encouragées. Quitte à prendre des risques, à s’exposer à l’erreur ! L’important est de donner aux collaborateurs, en particulier aux plus jeunes, le sentiment que chaque jour, ils viennent vivre une aventure professionnelle.

Mais comment faire tomber les cloisonnements dans les esprits si les bureaux demeurent hermétiquement clos ? Comment favoriser le choc des idées si l’information est retenue, au lieu de circuler avec fluidité ? C’est aussi tout le sens des aménagements de l’immeuble Ampère e+.

 

 

Ce lieu de vie se rapproche à bien des égards d’un lounge, d’une médiathèque et d’un salon de thé, voire d’un hôtel particulier ou d’une maison de famille.  L’impression dominante est que les murs ont été abattus. Ce n’est pas fortuit. Pierre Sorel en apporte l’explication : « l’ouverture des lieux appelle l’ouverture  des esprits, condition indispensable pour améliorer la capacité à mieux travailler ensemble. En définitive, la richesse des échanges actuels bâtit la Sogeprom de demain ».