Relations presse immobilier
Contact médias : Carol Galivel - 01 41 05 02 02

18 mai 18

NOVAXIA SALUE LA HAUSSE A 30% DU BONUS DE CONSTRUCTIBILITE POUR LA TRANSFORMATION DE BUREAUX EN LOGEMENTS

Lors de l’examen du projet de loi ELAN devant la commission des Affaires économiques, les parlementaires ont voté un amendement faisant passer le bonus de constructibilité à 30% pour les opérations de transformation de bu-reaux en logements. Pour Joachim Azan, Président de Novaxia, société d’investissement spécialisée dans la transformation urbaine : « Il s’agit d’une bonne nouvelle. Nous avons milité pour cette augmentation et avons donc été écoutés ».
Valoriser le logement

En France, les coûts de construction sont les plus chers d’Europe. « Et la transformation de bureaux en logements coûte environ 25 % plus cher qu’une construction neuve », précise Joachim Azan. De plus, l’immobilier de bureaux se porte bien depuis plusieurs années, le rendant très attractif pour les investisseurs. « Dans le contexte économique actuel, le maintien de l’usage en bureaux des immeubles obsolètes reste favorable. Avec ce bonus de constructibilité, les opérations de transformation de bureaux en logements deviennent plus intéressantes économiquement », ajoute-t-il.

Et aller encore plus loin

« Le bonus constructibilité de 30 % permet donc de compenser à la fois les surcoûts de construction mais aussi les pertes de surfaces comprises qui représentent entre 10 et 20% en moyenne puisque nous ne vendons pas les couloirs des immeubles de logements. Ce bonus est donc une belle avancée même si idéalement nous aurions souhaité qu’il atteigne 40% », poursuit Joachim Azan. 

Novaxia, un acteur historique de la transformation de bureaux en logements

Novaxia a depuis sa création transformé 375 000 m² de bureaux avec des opérations emblématiques telles le 34 avenue Reille, dans le 14e arrondissement. L’entreprise a récemment créé la Foncière de la Transformation Urbaine, destinée à anticiper l’obsolescence et favoriser à moyen terme la transformation de bureaux en logements. « Via la Foncière de la Transformation Urbaine, nous achetons des actifs encore occupés mais qui ne vont plus convenir au marché parce qu’ils ne répondent pas aux nouvelles exigences que ce soit en matière de nouvelles technologies, d’usages… Nous les transformons en lieux de vie contemporains, modulables, adaptés aux nouveaux enjeux urbains » conclut Joachim Azan.