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11 sep. 17

Les salariés de la French Tech sont moins stressés - Un enseignement instructif du Baromètre Paris Workplace 2017 SFL- Ifop

Le stress au travail n’est pas forcément une fatalité. Au sein de la population générale, 38% des salariés déclarent y être sujets, tandis que la proportion tombe à 25% chez les collaborateurs de la French Tech.

Le stress au travail n’est pas forcément une fatalité. Au sein de la population générale,  38% des salariés déclarent y être sujets, tandis que la proportion tombe à 25% chez les collaborateurs de la French Tech.

Leurs salariés apparaissent donc moins exposés aux risques psychosociaux et au burn out. De fait, ils évaluent à 7,97 sur dix leur bien- être au travail, alors que la note ne s’élève qu’à 6,5 dans la population générale.

 

Il est vrai qu’ils placent le fun dans le top 5 des éléments déterminants de la culture de leur entreprise, après l’innovation, la convivialité, la performance et l’esprit d’équipe. Alors que dans la population générale, le classement est le suivant : esprit d’équipe, relation clients, performance, professionnalisme et convivialité.

 

La nature des bureaux n’est pas étrangère à ces particularités de la French Tech.  Les espaces sont ouverts chez 88% des salariés de la French Tech.  Surtout, ils sont conçus pour le travail collaboratif, puisque seulement 1% des personnes de ce panel ont répondu travailler dans un bureau fermé. En revanche, ils changent plusieurs fois d’espaces dans la journée, pour se ressourcer, communiquer à distance, se détendre, se nourrir. L’impact sur la motivation des salariés ? Il est positif pour 75% d’entre eux, contre 56% dans la population générale.

 

Tous ces enseignements proviennent de la grande enquête annuelle Paris Workplace, réalisée par SFL. Tous les ans, la société foncière commande à l’IFOP une étude approfondie sur un sujet contemporain.

Cette année, il s’agissait de savoir si l’on travaille mieux dans les entreprises de la French Tech. Cette catégorie recouvre des entreprises à forte croissance, créées avant 2012, à partir d’un socle numérique et technologique prépondérant. Les dix entreprises qui ont accepté de répondre au questionnaire représentent autant de secteurs économiques distincts. Il s’agissait de 1000mercis, Alchimie, Criteo, Devialet, Drivy, GuestToGuest, ManoMano, Meetic, MonDocteur, Younited Credit.  

 

 

A PROPOS DE PARIS WORKPLACE

Tous les ans, SFL  commande à l’IFOP une étude approfondie sur un sujet contemporain. En 2014, l’étude s’intéressait aux bureaux, vus comme arme secrète pour recruter des talents.  En 2015,  la réflexion portait sur les quartiers où il faisait bon travailler.   En 2016, ce fut le match Paris-Londres, en plein vote sur le Brexit. Cette année, le choix de s’intéresser aux entreprises de la French Tech est aussi dans l’air du temps.

www.parisworkplace.fr