Relations presse immobilier
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21 sep. 17

L’engagement vers une démarche de rééquilibrage entre le secteur social et le secteur privé, semble intéressant.

Nous sommes plus mitigé concernant la zone B2. Quel devenir pour les opérations en cours sur ces zones non actées ?

Sully est plutôt satisfait de ces nouvelles mesures qui semblent être une bonne lecture de nos métiers et qui tiennent compte du besoin de stabilité du marché de l’immobilier. La vue à 4 ans permet en effet de consolider un certain nombre de sujets.

D’autre part, le marché de l’immobilier neuf rapporte plus de recettes fiscales que les dépenses liées aux aides. Ce qui semble avoir été compris par le maintien du Pinel et du PTZ. En revanche, nous sommes plus mitigés concernant la zone B2. Quel devenir pour les opérations en cours sur ces zones non actées ?

Concernant les problématiques foncières, les mesures relatives aux recours et à la non fiscalisation des plus-values des vendeurs permettront de limiter les blocages et d’assainir le marché.

En revanche, les mesures concernant le logement social risquent d’avoir un impact sur les bailleurs sociaux. Nous espérons que cela n’aura pas d’impact sur le prix de revient.

Mais l’engagement vers une démarche de rééquilibrage entre le secteur social et le secteur privé, nous semble intéressant.