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22 juil. 22
Retraites revalorisées de 4 % : une mesure insuffisante pour le pouvoir d’achat des séniors
Après une semaine de débats à l’Assemblée nationale, le projet de loi sur le pouvoir d’achat a finalement été adopté à la majorité ce matin peu avant 6h. Composé de 20 articles, ce texte emblématique du nouveau quinquennat d’Emmanuel Macron a pour objectif d’amortir l’impact de l’inflation sur les ménages français. Certaines des mesures votées semblent, toutefois, insuffisantes pour les séniors.
Réaction de Stéphane Revault, cofondateur de Dillan
Ainsi, l’article 5 prévoit une revalorisation de 4 % des prestations sociales et des pensions de retraite. Avec ce taux très en-deçà de l’inflation (5,8 % sur un an en juin), cette mesure ne sera pas réellement efficace car elle ne permettra qu’une atténuation de la baisse continue du pouvoir d’achat des séniors. D’autant que ce « coup de pouce » ne concerne que les pensions de base et non les retraites complémentaires qui, elles, dépendent des partenaires sociaux. Pour celles-ci, l’augmentation ne sera connue qu’à l’automne.
La démarche est, certes, louable et cette revalorisation est un premier pas pour accompagner les Français en difficulté. Cependant, elle ne résout en rien les deux grandes problématiques des séniors : un besoin de liquidités croissant avec l’âge, pour mener à bien leurs projets de vie et rester chez eux, et une exclusion quasi-totale des systèmes de financement bancaires.
On touche sans doute ici à la limite des solutions pouvant être apportées par l’Etat, au final incapable de procurer à tous les séniors le niveau de ressources dont ils ont besoin.
La question se pose : n’est-ce pas à la société civile de s’emparer de l’enjeu du financement des séniors afin de préserver leur niveau de vie et favoriser leur maintien à domicile ?
Dans d’autres pays d’Europe, les seniors disposent de solutions adaptées à leurs besoins sans nécessairement recourir à l’action publique. Ainsi au Royaume-Uni, ils sont plus de 75 000 chaque année à trouver un financement adapté, généralement fourni par leurs assurances. Alors pourquoi pas nous ?
Face aux limites du gouvernement, il paraît, en effet, primordial et urgent de valoriser les initiatives privées (sociétés, associations…) permettant aux retraités de maintenir leur niveau de vie et de financer leurs projets en leur donnant accès, par exemple, aux liquidités bloquées dans leur patrimoine immobilier. C’est le pari qu’a fait Dillan, entreprise innovante qui propose aux séniors un ensemble de solutions de financement pour avoir les moyens de rester chez eux durablement.
Dillan lutte ainsi contre l’exclusion des retraités du système bancaire, et participe à leur maintien chez eux, au cœur des territoires.
On touche sans doute ici à la limite des solutions pouvant être apportées par l’Etat, au final incapable de procurer à tous les séniors le niveau de ressources dont ils ont besoin.
La question se pose : n’est-ce pas à la société civile de s’emparer de l’enjeu du financement des séniors afin de préserver leur niveau de vie et favoriser leur maintien à domicile ?
Dans d’autres pays d’Europe, les seniors disposent de solutions adaptées à leurs besoins sans nécessairement recourir à l’action publique. Ainsi au Royaume-Uni, ils sont plus de 75 000 chaque année à trouver un financement adapté, généralement fourni par leurs assurances. Alors pourquoi pas nous ?
Face aux limites du gouvernement, il paraît, en effet, primordial et urgent de valoriser les initiatives privées (sociétés, associations…) permettant aux retraités de maintenir leur niveau de vie et de financer leurs projets en leur donnant accès, par exemple, aux liquidités bloquées dans leur patrimoine immobilier. C’est le pari qu’a fait Dillan, entreprise innovante qui propose aux séniors un ensemble de solutions de financement pour avoir les moyens de rester chez eux durablement.
Dillan lutte ainsi contre l’exclusion des retraités du système bancaire, et participe à leur maintien chez eux, au cœur des territoires.