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17 jan. 23

Nantes et La Baule : deux marchés immobiliers qui se maintiennent sur le segment haut de gamme

Malgré les diverses crises, sanitaires et économiques, les bureaux BARNES de Nantes et de La Baule ont connu un fort dynamisme, avec notamment l’arrivée d’une clientèle plus nombreuse et plus exigeante. En 2022, BARNES Nantes-La Baule a enregistré une hausse de 20% de ses transactions par rapport à 2021, pour un montant total de 70 Millions d’euros. « L’immobilier de prestige fait figure de repère. Il est non seulement un lieu de vie confortable pour le foyer familial, mais aussi un investissement sûr qui résiste aux tempêtes. L’emplacement, l’environnement, la qualité des prestations sont des atouts majeurs pour s’imposer dans la durée et résister aux crises passées et futures », commente Etienne de Gibon, directeur associé BARNES Nantes – La Baule.

Preuve de cet attrait pour l’immobilier haut de gamme dans la région, la 1ère agence, située au croisement entre la Place Aristide Briand et la rue Lafayette à Nantes et ouverte en 2017, voit aujourd’hui sa surface d’accueil doubler. Pour rappel, elle avait été complétée en 2018 d’une agence à La Baule, place du Marché. « Afin de répondre à une demande toujours plus forte, tout en fournissant un service premium et de l’espace à notre équipe qui s’agrandit, nous avions besoin de cette surface supplémentaire en prolongement de nos locaux actuels place Aristide Briand », ajoute-t-il.

 

Le marché immobilier nantais haut de gamme résiste malgré un contexte incertain

La métropole de l’ouest continue d’attirer de nouvelles familles et de nouveaux entrepreneurs grâce au dynamisme de sa vie économique, de sa proximité avec la capitale (Paris est à 2h30 de TGV) et de l’Atlantique. La ville de Nantes, tout comme ses communes environnantes, propose des biens variés et de qualité : appartements contemporains avec terrasse dans l’hyper centre, magnifiques appartements haussmanniens aux prestations modernes et confortables, maisons familiales avec jardin et beaux volumes, sans oublier les propriétés de caractère avec piscine aux alentours de Nantes.

Les prix sont très fluctuants suivant les quartiers et la nature des biens, mais 5 000 €/m² est un prix minimum pour un bien de qualité idéalement situé dans les quartiers Monselet, Procé, Canclaux, Mellinet, St Pasquier ou St Donatien.

A Nantes, la dynamique du marché a changé au cours de l’année, avec des prix qui ont progressé au 1er semestre 2022, avant de stagner en 2e partie d’année. « Le marché se rééquilibre, au profit des acquéreurs, qui ont désormais le choix, rallongeant de fait les délais de vente. La hausse des taux d’intérêt, la baisse du CAC40, l’inflation et l’incertitude économique ont pesé sur les prix nantais », complète-Etienne de Gibon.

Cependant la métropole de Nantes attire de nouveaux habitants et la pénurie de biens qui persiste permet au marché de maintenir sa dynamique au niveau du nombre de transactions sur le segment du haut de gamme. Ainsi le prix de vente moyen chez BARNES Nantes, est supérieur pour la 1re fois à 1 million d’euros. « La majeure partie de notre clientèle est composée de seniors qui souhaitent continuer de vivre à Nantes et d’actifs, CSP+ qui arrivent à Nantes pour des raisons professionnelles. Nous réalisons également 20% de nos transactions avec des acquéreurs étrangers ou des Français expatriés », note-t-il.

Avant de conclure « Nous redoutons une poursuite de la hausse des taux qui surenchérit de manière importante le coût des emprunts et des projets immobiliers. Nous pensons que l’attractivité géographique et économique de la métropole nantaise et la pénurie de biens, même si elle aura tendance à se réduire, permettront au marché immobilier nantais de stabiliser le nombre de transactions et les prix moyens. En revanche, les biens avec travaux connaitront une décote importante due à la hausse des coûts de rénovation ».


Le rêve d’une résidence secondaire à La Baule

Le littoral baulois attire de nombreux Français expatriés à la recherche d’une résidence secondaire, ou souhaitant revenir habiter en France en dehors des grandes villes. « Nous notons une forte demande de la clientèle étrangère en provenance des capitales européennes, qui représente 25% des transactions de BARNES La Baule », explique Serge Le Berre, manager BARNES La Baule.

Pour s’offrir un bien dans le secteur proche des commerces et de la plage, comme les quartiers Benoit, des Grands hôtels, des Oiseaux, des Arbres, ou Lajarrige, il faudra compter en moyenne entre 10 000 €/m² (pour un rdc) et 20 000 €/m² (pour un dernier étage, plage Benoit) pour un appartement face à la mer et entre 7 500 € /m² et 12 000 €/m² pour une maison en fonction de la situation géographique du bien et de son état.

« Pour acquérir une villa bauloise, il faudra se montrer patient, car ces bijoux appartenant parfois au patrimoine baulois se transmettent de génération en génération et sont rares. D’une manière générale, le marché immobilier haut de gamme du littoral baulois est en pénurie d’offre, et même si nous observons une stabilisation des prix depuis 6 mois, nous ne croyons pas à un retournement du marché », ajoute-t-il.

En conclusion, le marché baulois reste tendu, avec un fort déséquilibre entre l’offre et la demande. Pour cause, les multiples atouts de la station balnéaire (situation géographique, gare TGV, dynamisme économique et culturel, qualité de vie et du bâti) en font une des villes phares du littoral atlantique. Bon nombre d’acquéreurs souhaitent investir sur la presqu’île, en résidence principale, ou secondaire et sont prêts à passer à l’acte d’achat s’ils trouvent le bien qui leur correspond.