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27 mai 15
L’économie de partage, un devoir de promoteur
Le métier de promoteur peut-il encore se résumer à la simple « livraison» de logements à des particuliers ? Chez REI, nous pensons que notre responsabilité de constructeurs va bien plus loin.
Par Paul Jarquin, Président fondateur de la société REI
Le métier de promoteur peut-il encore se résumer à la simple « livraison» de logements à des particuliers ? Chez REI, nous pensons que notre responsabilité de constructeurs va bien plus loin. Tout ce qui peut favoriser le bien-vivre ensemble doit être notre apanage. C’est pourquoi nous consacrons notre savoir-faire à proposer des lieux d’intelligence collective, des espaces de partage, de loisirs pratiqués en commun…
Nous sommes conscients d’avoir des devoirs : vis-à-vis de la planète et de ses habitants. En matière d’environnement, il nous incombe d’intégrer l’impact de nos réalisations. Ceci explique notre choix du bois. Si nous avons été les premiers à l’utiliser pour les structures des immeubles collectifs, c’est parce que le bilan carbone est nettement plus favorable que le béton. Aussi bien durant le temps du chantier, qu’une fois les appartements livrés.
De même, à l’égard des personnes qui nous accordent leur confiance, nous savons que nous leur sommes redevables. Les gens doivent pouvoir vivre en conformité avec leurs aspirations citoyennes. Ils sont nombreux, par exemple, à vouloir être écoresponsables. Dans les logements que nous proposons, le bois et l’isolation permettent une réduction notable de la facture énergétique.
Pareillement, de plus en plus de gens souhaitent une vie plus solidaire, fondée sur une économie de partage et de collaboration. Nos plans sont conçus pour accorder une place à des buanderies communes. Ils rendent également possible la pratique du co-working, ou de l’agriculture urbaine en terrasse.
Depuis sa création, REI ne s’est pas éloignée de cette ligne de conduite en faveur de l’environnement et des citoyens. Ces deux engagements se retrouvent naturellement dans les projets de programmes présentés dans le cadre du concours d’urbanisme « Réinventer Paris ».
Lancée par la Mairie de Paris pour réaménager 23 sites de la capitale, cette initiative nous a immédiatement séduits. Sa démarche nous parle en effet. Elle vise à réunir la plus grande diversité d’acteurs : investisseurs, architectes, opérateurs, utilisateurs, artistes, start-ups.
Nous avons répondu à l’invitation à travers cinq projets. L’un d’eux, Baobab, ferait travailler la star de la construction bois, l’architecte Michael Green, qui se propose, au pied du Palais des Congrès de la Porte Maillot, d’accueillir des fermes maraîchères verticales.
Un autre, dans le treizième arrondissement, nous est particulièrement cher, du fait de la méthode qui a présidé à son élaboration. C’est un immeuble modulable dans le temps et dans l’espace, en fonction des besoins et des désirs exprimés à la fois par les occupants,- en l’occurrence des start-ups- et par les riverains. De sorte qu’il s’agit d’une forme de wikibuilding, ou d’architecture enrichie par le plus grand nombre. Quelle meilleure illustration au projet de bien vivre ensemble et de promouvoir l’économie de partage ?