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Des taux stables face au reconfinement
Le digital au service du marché immobilier
De par sa soudaineté et par sa brutalité, Le 1er confinement avait mis la France à l’arrêt et gelé le marché immobilier. De plus, la législation n’était pas non plus adaptée à la situation, avec par exemple l’impossibilité de signer les actes à distance. « Notre précédente expérience nous a permis d’ajuster nos méthodes et nos outils. Aujourd’hui, l’aspect technologique des démarches pour accéder à la propriété, de la recherche à la remise des clefs, en passant par la recherche du financement, est devenu une norme pour les professionnels, mais aussi pour les acheteurs et vendeurs », ajoute Philippe Taboret. Chez Cafpi, le parcours client 100% digital ; outils de score, certificat de faisabilité, signature électronique, dématérialisation des documents et passerelle de données, a été amélioré et les conseillers sont tous équipés afin d’accompagner les futurs acquéreurs à distance. Par ailleurs, l’arrivée de CafpiLib, a facilité la prise de rendez-vous via un service en ligne, rendant toujours plus efficiente la recherche du bon interlocuteur au bon moment.
Il faut également rappeler que les courtiers en crédit immobilier, sont, à l’image des banques, dans la liste des activités essentielles à la vie de la nation, et les agences restent donc ouvertes au public, avec la possibilité de se rendre chez l’emprunteur si celui-ci ne peut pas s’y rendre, en prenant toutes les mesures nécessaires pour poursuivre le service tout en respectant les règles sanitaires.
L’ensemble de la profession répond présent
Les services publics et les entreprises du BTP restant ouverts, l’activité immobilière peut se maintenir. « Nous allons probablement observer un ralentissement de l’économie et du dynamisme du marché immobilier. Mais l’impact de ce confinement numéro 2 sur le marché sera sûrement moins fort, car nous sommes prêts aux côtés de l’ensemble des acteurs de la profession, banquiers, professionnels de l’immobilier, notaires... Il faudra néanmoins réintégrer la possibilité de réaliser des visites immobilières, sans quoi la chaîne de l’immobilier ne serait pas complète et empêcherait le marché d’assumer pleinement sa prestation de service d’accompagnement à l’accession au logement, un besoin primaire. », conclut Philippe Taboret.