Galivel & Associés

C’est au 13 rue Thérèse qu’Archides propose un nouveau séjour atypique au cœur du Paris artistique, journalistique et culturel du XIX^e siècle. Nichée à l’étage noble d’un bâtiment construit vers 1740, surplombant l’imposante porte cochère d’époque, la suite occupe les locaux de l’éditeur Eugène Hugues. Il publia de 1876 à 1898 le Victor Hugo illustré, une édition intégrale de l’œuvre de l’auteur de Notre-Dame de Paris, édition de référence enrichie d’une grande partie de ses dessins.

 

 

Salon de la Suite Victor Hugo ©Archides

Décorée avec élégance, la suite offre un espace agréable et spacieux où les éléments contemporains se mélangent aux moulures authentiques et aux lustres rappelant les intérieurs de l’époque Empire. Elle se compose d’un grand salon avec une cuisine ouverte, de 3 chambres, chacune disposant de sa salle d’eau privée, et, petite originalité, d’une mezzanine à laquelle on accède par un magnifique escalier en fer forgé fabriqué sur mesure. Un petit perchoir, sous ces 3,80 mètres de hauteur sous plafond, rappelant l’atmosphère des appartements bourgeois de l’époque dans cette suite 5 étoiles au décor néo-classique.

 

Mais le séjour sous les auspices du plus grand écrivain français ne s’arrête pas là ! Les voyageurs pourront profiter de l’occasion pour faire le tour des lieux qui ont servi de cadre à ses œuvres, de Notre-Dame de Paris, bien sûr, à sa maison, Place des Vosges, transformée en musée… Et pour les véritables passionnés de Victor Hugo, la visite peut se poursuivre, après le 13 rue Thérèse, de l’autre côté de l’avenue de l’Opéra, au 20 rue Danielle-Casanova, encore rue Neuve-des-Petits-Champs à l’époque, où enfant il résida avec sa mère cinq années, bien avant de finir s’installer en 1878 au 130 avenue d’Eylau, aujourd’hui n° 124 de l’avenue Victor-Hugo, baptisée ainsi de son vivant en 1881. Hugo aura habité pas moins de 25 adresses dans Paris !

Le 13 rue Thérèse, une adresse à retenir, au cœur du riche et bouillonnant quartier du Palais Royal, pour ceux qui aiment les clins d’œil à la littérature et qui cherchent à insuffler un petit supplément d’âme à leur séjour parisien. Le réalisateur Roger Boussinot choisit cet immeuble (et notamment son escalier) pour y tourner son film Le 13^e Caprice en 1967 avec Marie Laforêt et Elena Mauli Shapiro y situe son roman homonyme « 13, rue Thérèse » publié en 2011 (Michel Lafon).

 

 

Archides offre ainsi, à travers ses suites parisiennes chargées d’histoire et d’anecdotes, une excellente manière de se créer des souvenirs impérissables en sortant des sentiers battus et des trajectoires balisées du tourisme dans la capitale, avec ce petit pas de côté… qui les rend exceptionnels !