Galivel & Associés

 

Les équipes de Confluence, filiale du groupe GSE, qui offre une opportunité foncière et immobilière à ses clients souhaitant développer une opération logistique, seront sur le stand afin de présenter l’ensemble des solutions de pré-développement mises en œuvre.

« Confluence offre une opportunité foncière et immobilière aux clients souhaitant développer une opération logistique, industrielle ou tertiaire. Elle rassemble une équipe d’experts spécialisée dans le montage d’opérations afin de proposer des solutions face aux enjeux de raréfaction du foncier, de contraintes réglementaires et de transition environnementale. » précise Matthieu Portal, Directeur Confluence France.

Confluence propose ainsi une offre d’accompagnement et de développement au plus près des territoires, permettant de sécuriser et valoriser du foncier en montant des opérations de portage et de pré-développement, avant commercialisation.

Confluence n’achète pas de terrain : elle sécurise le foncier au travers d’une exclusivité.

Créée en 2017 en Italie où elle comptabilise près de 500 000 m² déjà construits, Confluence dispose désormais d’équipes dédiées en France, en Espagne et au Portugal.

Dans la lignée des enjeux écologiques actuels, le secteur de la logistique travaille à la sobriété énergétique du bâti, et à une construction plus responsable. Déjà largement initiées (matériaux utilisés, consommations énergétiques, émissions carbone…), cela concerne dorénavant les écosystèmes extérieurs aux projets, par la prise en compte de la biodiversité autour des bâtiments. Cet intérêt pour le bâtiment éco-responsable se retrouve également chez les clients, qui sont prêts à en assumer le coût, mais qui en attendent des gains opérationnels en parallèle.

 

Pour GSE, via le LAB, son centre d’innovation, le bâtiment éco-responsable s’articule autour de 3 axes prioritaires : le bâtiment bas-carbone, la performance énergétique et la biodiversité.

 

Ainsi, s’agissant du bâtiment bas-carbone, les innovations portent sur la mise en place de nouveaux matériaux. GSE met en place aujourd'hui sur ses projets le réemploi des matériaux, l’utilisation de matériaux biosourcés, de nouvelles énergies renouvelables, ou encore l’autoconsommation photovoltaïque couplée au stockage énergétique, avec des objectifs allant au-delà de la réglementation en vigueur.

 

Alors que la construction compte parmi les secteurs les plus polluants, le groupe GSE a décidé de recourir au béton bas carbone [1] sur l’ensemble des dallages de ses nouveaux projets depuis juillet 2023. Une décision concrétisée par un engagement au service du développement durable, puisque le béton bas carbone diminue jusqu’à 20% les émissions de CO₂ créées par le dallage.

 

De la même manière, GSE s’engage sur des chantiers à faible impact. Une large majorité de ses projets intègre l’inclusion dans l’économie circulaire, notamment s’agissant du traitement et de la réutilisation des matériaux, permettant de limiter l’impact environnemental de ses activités.

 

Dans l’objectif de réduire l’utilisation de nouveaux fonciers (et afin de répondre aux exigences de la loi ZAN), GSE a placé au cœur de sa stratégie environnementale la réhabilitation de friches pour développer ses projets logistiques et industriels, ainsi que la construction à étages. 

En France, mais aussi en Allemagne et dans d’autres pays où GSE est présent, le Groupe a déjà réalisé plusieurs projets de réhabilitation de friches.

 

[1] Les ciments CEM II/A, utilisés jusqu’alors, sont composés de 80 à 94 % de clinker et 6 à 20 % d’autres constituants. Le ciment CEM III A, qui devient dorénavant la norme sur les chantiers GSE, contient entre 35 et 64 % de clinker et au minimum 36 % de laitier de hauts-fourneaux.