Galivel & Associés

Avec le développement du télétravail, la vie sociale de bureau s’est progressivement effacée pour laisser bon nombre de télétravailleurs seuls devant leurs écrans. Toutefois, n'ayant pas la volonté de faire le trajet domicile-bureau chaque matin et chaque soir, il n’est pas question de retourner au bureau tous les jours de la semaine. Pour résoudre ce dilemme, Care Promotion a lancé enbâ, le coworking qui s’installe en pied d’immeuble. Grâce à lui, les résidents disposent désormais d’un bureau et de tous ses avantages en bas de chez eux.

C’est un fait, la crise sanitaire que nous avons connu en 2020 a accéléré l’essor du télétravail. Désormais bien ancré dans les mœurs, il s’impose comme une véritable tendance de fond et, aujourd’hui, 31% des salariés télétravaillent régulièrement selon une étude menée par Slack et Opinion Way cette année. Mais le télétravail connaît encore quelques limites. Outre le fait que tous les logements ne peuvent être aménagés pour offrir des conditions de travail idéales, l’isolement est l’un des inconvénients majeurs. Livrés à eux-mêmes, les télétravailleurs perdent le lien social qui existait au bureau, entre réunions et pauses café.

Sensible au « mieux vivre » et impliqué depuis son origine dans une démarche de cohésion sociale, Care Promotion a été précurseur face aux nouveaux modes de travail en installant des espaces de coworking aux pieds de ses immeubles.  De quoi offrir aux habitants des résidences du promoteur des espaces de travail haut de gamme, pensés pour chacun. Entre 30 et 100 m², ces coworking comptent toutes les fonctionnalités et services utiles : tables partagées, imprimantes, connexion haut-débit, fontaines à eau ou encore mobilier professionnel. De quoi créer des espaces pour travailler confortablement et efficacement en bas de chez soi.

Retrouver du lien social

Efficacement, mais aussi entouré ! Car, plus que des lieux de travail, ces espaces de coworking sont de véritables tiers-lieux, qui permettent de favoriser les interactions entre télétravailleurs. Prioritairement réservés aux habitants des immeubles, ils permettent ainsi aux voisins de se rencontrer et d’échanger entre eux. Ces coworking deviennent alors de véritables lieux de vie qui redynamisent la vie d’une copropriété.

A terme ces espaces pourront évoluer et s’ouvrir au-delà de la résidence. Les élus pourront y tenir séance pour aller à la rencontre des habitants, les enfants pourront y recevoir du soutien scolaire... Bref, les installations permettent d’envisager de nombreuses animations pour favoriser encore plus les rencontres et échanges entre voisins. Une réponse optimale à l’isolement, mais aussi à la problématique de la conciliation de la vie professionnelle et de la vie personnelle, à laquelle profite le télétravail.

Une solution à l’enclavement territorial

Pour les coworking implantés dans les communes rurales, il s’agit non seulement de lutter contre la fracture sociale, mais également de donner une chance à l’économie locale. Ces nouveaux lieux d’échanges permettent ainsi de créer de nouvelles dynamiques, notamment grâce au fait qu’ils offrent d’autres services que la simple mise à disposition d’espaces de bureaux. Ils sont également la solution idéale pour les personnes venues chercher un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. Dans ces espaces, ils peuvent ainsi trouver tout le confort et les avantages du bureau (internet haut-débit, matériel de bureau, mobilier professionnel, etc.) tout en profitant de nouveaux échanges et de nouvelles rencontres, bénéfiques pour leur vie sociale et leur intégration territoriale. Ces tiers lieux permettent également aux touristes de prolonger leur séjour et de télétravailler depuis leur lieu de vacances ou d’une résidence secondaire tout en profitant d’un espace adapté à leurs besoins professionnels.

Un modèle qui séduit

La meilleure preuve de ce besoin de lien social retrouvé est les chiffres des réservations des différents espaces de coworking proposés par enbâ. Ainsi, à Argenteuil (95), le nombre de coworkeurs inscrits a été multiplié par trois en un an. Même chose du côté de Bezons (95), où près de 64 personnes télétravaillent dans l’espace enbâ onze mois après son ouverture. Un succès qui ne se dément pas, même en-dehors de l’Île-de-France puisque le nombre de coworkeurs ayant fait une demande de réservation pour l’espace d’Annecy a été multiplié par 10 seulement six mois après son inauguration.

A l’heure actuelle, six résidences de Care Promotion bénéficient d’espaces enbâ, en Île-de-France mais aussi dans l’Arc Alpin : Colombes (92), Argenteuil (95), Bezons (95) avec deux résidences dans le secteur, Drancy (93) et Annecy (74). Trois centres, à Bussy-Saint-Georges (77), Samoëns (74) et Amancy (74), sont actuellement en travaux. Huit devraient ensuite bientôt voir le jour à Mantes-la-Jolie (78), Carrières-sous-Poissy (78), Saint-Cyr-L'Ecole (78), Montreuil (93), Roissy-en-Brie (77), Cognin (73), Cusy (74) et Samoëns (74)